Au cas où. La réponse est simple mais elle entraîne une énorme perversité car cette langue nous invite à partir, à chercher ailleurs ce que nous n'avons pas ici. L'enseignement et l'apprentissage de la langue française à l'école deviennent de plus en plus difficiles dans la mesure où les autorités éducatives dégradent la matière Français LV2 à la condition d'option, en concurrence avec le rattrapage de mathématiques ou espagnol. En même temps, les professeurs de français sont contraints à accepter de donner des cours de langue et littérature, histoire-géo et, qui sait, anglais, latin,... Et les élèves? Ils sont les victimes d'un système éducatif absurde qui favorise la passivité face à l'effort. La phrase d'un collègue montre clairement cette idée: "Il faut d'abord connaître ce qui est à nous. Les Français ne parlent pas notre langue". Il se trompait, bien évidemment, car en France et partout en Europe l'espagnol est une langue étudiée et connue, mais la majorité pense comme lui. Alors, quand on se bat contre ce type de raisonnement, il vaut mieux prendre la clé des champs, parce qu'on ne fait pas partie de la même équipe.
En effet, il faut apprendre le français au cas où..., au cas où il faudra quitter ce pays.
Un petit tour sans papiers, sans frontières, en venant de Parece que vuelvo tarde. Moi j'apprends l'espagnol, un peu tard. Pourquoi? Parce que ma fille vit en Espagne et que je suis tombée amoureuse de ce pays. Enhorabuena, querido afrancesado.
ResponderEliminarSalut, Catherine,
Eliminarj'adore les surprises, et ta visite en est une. Dans mon blog il y a des points de vue un peu différents par rapport à l'idée générale, mais l'intention est d'être un vers libre. Je t'invite à visiter mon blog principal où je publie mes contes http://juanmanuelsanchezmoreno.blogspot.com.es/
et l'autre sur Maupassant http://maupassantysuobra.blogspot.com.es/
Cordialement
Juan M