La semaine prochaine, le film L'enlèvement de Michel Houellebecq ne sera plus à l'affiche à Madrid, mais ceux qui ont eu la chance de regarder cette autofiction, pensent qu'un personnage comme ce grand auteur français mérite non une place au Panthéon mais un panthéon à lui tout seul. Surtout ça, tout seul pour éviter le désordre autour de son cercueil.
Pourtant, quelles sont les limites entre l'homme Michel et la créature Michel inventée par l'homme afin de confondre? Quelle importance! Un type capable de, durant son "enlèvement", séduire ses ravisseurs et même les conduire à une guerre psychologique, un type pareil et un génie-fou, au même titre que Leopoldo María Panero, poète unique dont sa vie et celle de sa famille fut montrée sans pudeur dans le film El desencanto.
Génie et folie étaient les condiments de Don Quixotte.
Les poètes maudits, ou tu les adores ou tu les rejettes sans même les avoir lus.
ResponderEliminarLes critiques disent que le film est excellent.
C'est encore un bon débat que tu proposes, Juan M.
Quand j'ai vu ce film, au début j'ai été choqué par le personnage, mais j'ai vite compris qu'il s'agissait d'une blague, d'une provocation réussie: siffler, il sait siffler...!
EliminarUn saludo
JM