Depuis plus de deux siècles, Napoléon Ier reste le plus grand "ennemi occasionnel" des Espagnols, surtout quand les chefs de certaines chaînes locales de TV (liées aux différents gouvernements régionaux) voient que les programmes électoraux ne marchent pas comme il faut. Voilà la bonne vieille méthode d'accuser les autres d'être responsables des désastres.
Vous l'avez devinez: dans deux semaines il y a des élections régionales et municipales en Espagne, et il faut renforcer l'esprit civique, comme le 2 mai 1808 (et le 3 aussi), "quand le peuple madrilène...bla, bla, bla,... a expulsé les étranger". Ces étrangers, malgré des épisodes lamentables, avaient apporté beaucoup de réformes dont les "afrancesados" rêvaient. Mais tout le monde connaît déjà l'histoire.
Il y en a eu d'autres: Giscard d'Estaing, Platini,..., mais comme Napoléon.., ah non, personne comme lui.
Je ne comprends pas ce qu'a fait Giscard, mais bien ce qu'a fait Napoléon , ou son frère, en bien (la Pepa) ou en mal. Et je vais modestement contribuer à "afrancesar" un peu plus l 'Espagne avec un petit-fils qui va naître là-bas de parents de deux nationalités différentes et non espagols. Sans papiers ou avec diverses nationalités possibles et la maîtrise de plusieurs langues.
ResponderEliminarSaludos, J.Manuel.
Chère Catherine,
EliminarLe vieux Giscard!, il ne voulait pas que l'Espagne fasse partie du Marché Commun..., mais cela fait si longtemps que tout le monde pense que l'espiègle Auvergnat est un Mérovingien ou similaire. Quant à la famille Bonaparte, rien à dire; et Platini, je m'en fiche royalement.
Félicitation pour cette naissance européenne (dans le bon sens).
Un saludo
JM